COMPRENEZ L'ORIGINE ÉMOTIONNELLE DE VOS DOULEURS POUR LES SOULAGER NATURELLEMENT

Vous sentez que certaines de vos douleurs n’ont pas d’explications « mécaniques » logiques ?
Ou, on ne vous trouve rien aux examens ?
Certains vous disent même d’aller voir un psy ? De vous détendre, que c’est le stress ?

OK ! Mais, quid de la solution ?
Je vous propose, ici, de vous aider à comprendre comment fonctionnent notre inconscient et notre corps pour mieux comprendre ces douleurs « émotionnelles » et pour pouvoir les soulager.

Qui suis-je pour vous guider !?

Élise, praticienne holistique traductrice de vos « maux » en « mots »

J’ai exercé 18 ans en tant que kiné tout en me formant à des techniques basées sur l’émotionnel, l’énergétique et le développement personnel.

Je vous apporte bien-être, énergie et remise en question afin de vous réconcilier avec votre corps et avec celle que vous êtes vraiment.

Ma mission ?

Aider les femmes « bloquées » par leurs douleurs chroniques et leur manque de confiance en elles. Qu’elles puissent reprendre le contrôle sur leur douleur et sur leur corps et qu’elles retrouvent leur estime d’elles-mêmes.

Les aider à se libérer de leurs douleurs en posant des mots libérateurs sur leurs maux corporels, en les ressourçant en énergie et qu’elles puissent sortir du cercle infernal de la douleur.

Leur permettre de reprendre le cours de leur vie en osant s’affirmer avec confiance.

Elles seront ENTENDUES, RESPECTÉES ET COMPRISES. Et ça, ça n’a pas de valeur !

Intriguée ?

 Voici 3 questions fondamentales à vous poser pour
analyser, comprendre et soulager vos symptômes.

Je parle ici de soulager, principalement, les petites douleurs, les petits symptômes pénibles que l’on peut avoir pendant quelques jours : mal à la gorge, tensions dans le dos, …

Pour les douleurs plus anciennes, chroniques, ou plus graves, le travail de recherche, même s’il reste dans la même lignée, est un peu plus complexe et nécessite souvent l’intervention d’une tierce personne

Voici, pour commencer, des informations sur l’origine possible de vos douleurs.

Je vous donnerai ensuite des conseils et quelles questions vous poser pour vous aider dans votre enquête personnelle.

Je me dois, avant toute chose, de vous rappeler que cette approche ne remplace pas un diagnostic médical, ni un traitement donné par votre médecin et que vous ne devez, en aucun cas, arrêter votre traitement sans en avoir discuté au préalable avec lui. Ces 2 approches sont complémentaires.

Comprendre :

Pourquoi des « mots » et des « maux » ?

Savez vous que votre douleur est un message de votre inconscient ?

Et oui ! La douleur (comme la maladie) nous permet de nous parler à nous-même. Suivant sa localisation, la sensation qu’elle entraîne, les moments où elle va se manifester, le message sera différent mais, dans tous les cas, elle sera le reflet exact de ce que nous ressentons, de nos émotions.

Chaque organe touché, chaque type de lésion aura une thématique définie et différente, permettant d’aller enquêter plus précisément. Le diagnostic posé par le médecin sera primordial pour une bonne traduction du message envoyé.

Par exemple, vous avez mal à la gorge :

  • Du côté Gauche ? = Qu’est-ce que vous vous retenez de dire ? Ou que regrettez-vous d’avoir dit ?
  • Du côté Droit ? = Quel «morceau» n’arrivez-vous pas à avaler ? Quelle information avez-vous dû «avaler» ?

Pourquoi notre corps nous parle ?

Parce que, très souvent, nous ne nous écoutons pas … ou pas suffisamment.

Parfois nous savons que nous nous retenons de dire ou de faire quelque chose. Vivre en société, en groupe, nous « oblige » à suivre des codes, des règles, qui ne vont pas forcément vers ce que nous voudrions faire, ou être. Ces situations créent une dualité en nous, entre ce que « je voudrais » et ce que « je fais » … et c’est là que ça coince ! Surtout si la situation dure.

Le corps, lui, va exprimer ce que l’on ressent réellement parce qu’il n’aime pas ce déséquilibre.

Il arrive que nous soyons conscients de ce stress, de cette dualité en nous et que nous préférions l’ignorer. Mais, parfois, nous n’en avons tout simplement pas conscience. Nous ne percevons pas à quel point une situation est pesante, nous pouvons la minimiser ou même ne pas la percevoir du tout.

Il est donc important que « quelqu’un » soit là pour tirer la sonnette d’alarme et faire en sorte que ce stress s’arrête ! C’est le rôle de notre corps qui va nous parler à travers une douleur, voire une maladie et qu’il va falloir essayer, au plus vite, d’écouter et de décoder.

La douleur est en réalité une messagère : comme une bouteille à la mer envoyée par votre inconscient. Vous ne la verrez donc plus comme l’ennemie à abattre.

Doit-on écouter les messages de notre corps, traduire ses douleurs ?

Sans aucun doute, la réponse est OUI ! … et le plus rapidement possible.
Pourquoi ? Parce qu’il ne lâchera pas. Sa mission est de rétablir l’équilibre coûte que coûte

Au départ, le message sera léger ; il frappera à votre porte tranquillement, vous l’entendrez à peine, voire même pas du tout (« rah ! j’ai un chat dans la gorge ! »).

Des fois le stress est de très courte durée et ça s’arrête là, on n’en parle plus.

C’est pour ce genre de douleurs que je vais vous faire réfléchir. Pour que vous preniez l’habitude de vous poser la question dès les 1ers symptômes, sans attendre.

Mais il est aussi possible que ce stress se poursuive, que vous ayez choisi de ne pas écouter le signal ou que vous ne l’ayez pas perçu comme ça. Alors votre corps va frapper plus fort à votre porte (« Tssss ! j’ai mal à la gorge depuis quelques jours ! »).

Et ça passe …

Et, (si vous êtes toujours face au même stress) ça revient, de plus en plus fort ! Jusqu’à ce qu’il ait besoin de défoncer la porte pour que vous l’écoutiez.

Pour être claire, plus le stress aura duré longtemps, plus il aura été important et violent, plus le message que vous transmettra votre corps sera fort et donc le symptôme important. Ça pourra donc aller du simple petit picotement à la maladie grave, à l’accident, la fracture, si le message n’est pas perçu à temps.

Vous en conviendrez qu’il vaut donc mieux agir au plus vite, ou en tous cas, dès qu’on a conscience que quelque chose dans notre vie nous déstabilise.